Marathon de Paris

Bonjour à tous,

Je suis là ce matin au boulôt le sourire au lèvre et les jambes vraiment dures.

Quelle belle expérience que le marathon : tout était nouveau pour moi, de la préparation (jamais couru autant en trois moi de ma vie) à la course.

Mon week end c’est passé à merveille :

Samedi TGV à 10h00 avec mon pote sylvain (qui à un appart à 2 station de métro du départ) et nos femmes respectives.

A peine arrivé direction le parc des exposition pour le retrait des dossards. Déjà l’organisation nickel avec un cheminement qui nous mène a donner notre certif, récup du tee shirt (pas terrible) jusqu’au différent gadget (dont le fameux bracelet d’allure en plastic).

Les personnes de l’organisation sont vraiment  accueillantes et il ni a aucune attente.

Le reste de la journée se déroule avec une petite visite dans Paris pour aboutir sur la butte Montmartre et donc dans un resto pour manger des pâtes (on repère déjà d’autre marathoniens).

La nuit se passe très bien et le matin une fourmilière de basket commence à s’agiter.

La encore rien à dire au niveau de l’organisation : pas d’attente pour la consigne et plein de bouteille d’eau.

Je dit au revoir à mon pote et me place sans aucune difficulté à deux mètres des meneurs d’allure de 3h30.

L’ambiance est vraiment sympas il fait froid mais tout le monde se tiens chaud.

Le départ est donné : impressionnant le nombre de bouteilles tee shirt plastique qu’il faut enjambé. Je passe la ligne de départ environ deux minutes après le coup de starter.

Les meneurs d’allure partent relativement vite, puisqu’il me faudra plus de trois kilomètre pour les dépasser. Ma montre gadget qui me donne la vitesse me sert : je suis à 13 km/h et comprend très vite que je suis sur un rythme limite pour l’objectif mais tout va bien.

A chaque ravito une petite bouteille d’eau !! je respecte les conseils des différent escargots qui on t déjà écumé leur bave sur distance mythique.

Je n’ai aucun problème, le temps est idéal, je suis habillé comme il faut, je profite pour regarder autour de moi : bref du bonheur.

Kilo n°7 je me tâte à m’arrêter pour faire pipi et j’hésite pendant un kilomètre, finalement je m’arrête et devant moi une femme se fait carrément dessus (hallucinant).

Je passe le kilo n) 10en 47’16 ma montre me donne pile 10 km (super régler) je me met mon lecteur mp3 pour être dans ma bulle (bon choix).

Tout au long du parcourt plein de gens qui nous encourage par notre prénom inscrit sur les dossards.

Je passe le kilo N° 15 en 1h10’19. Tout va bien, je prends mes gels tous les 10 kilos mais de l’eau à chaque ravito.

Je passe le semi en 1h39 et quelques. Je commence à sentir lorsque je veux accélérer un petit peu que suis limite crampe au mollets (je prend un gel anti oxydant).

Je passe le 32 ème kilo en 2h32 et je me dit que l’objectif des 3h30 va être atteint (dans la tête ça fait du bien), je me surprend à faire de la batterie en courrant (petite pensée pour Hugo).

A partir du 35 ème je me méfit et je commence à voir les première victime de la course. Je gère mais n’arrive plus à maintenir le 12.5 km/h, en fait je tourne à 12 km/h avec les limites de crampes qui commence à m’envahir de partout (hanche et cuisse en plus des mollets).

Entre le 35 et 40 ème c’est vrai que c’est dur, des gens marche, s’étire je gère toujours et compte dans ma tête en tour de Bachelard qui me reste.

L’arrivée est super, j’arrive même à monter jusqu’à 14 km/h et j’arrête mon chrono après le troisième tapis (en fait les puces enregistre sur le premier).

Je suis heureux objectif atteint je me rend compte que j’ai plus de jambe mais je m’en fout.

J’attends mon copain qui a reçu sur la courge en 4h 12.

TGV en première à 16h 38 avec une petite bière savoureuse

Quelle belle aventure.

Merci en tout cas à tous pour les entraînements, les conseils et merci pour vos encouragement spécialement Nico, Gillou et Papipec.

C’est super je vais continuer à courir.

Bon courage pour dimanche

Moult